À LA UNE

La Bienveillance est souvent galvaudée au CIC SO et certains se cachent derrière ce paravent de manière à cacher la brutalité de leur management. La pseudo bienveillance, faux nez d’un management par la peur, doit être dénoncée

Craquage, dépression, burnout...autant de vocables pour mettre des mots sur des maux. Cela nous concerne tous. Dans le groupe CMAF et également au CIC SO, des évènements douloureux nous le rappelent. Ne restez pas seul ! Alertez nous rapidement et n'hésitez pas à contacter la cellule STIMULUS (ex PSYA) (cf Pixis) soit par téléphone 0 800 001 092 ou par tchat via www.stimulus-care-services.com

Lors du CSE du 24 février, les élus ont unanimement dénoncé des méthodes indignes , des atteintes majeures aux libertés individuelles, au droit des personnes et aux valeurs du groupe CMAF. C'est la première fois que cela arrive au CIC SO alors que nous vivons un changement de gouvernance. L'unicité des 4 syndicats confirment les craintes des élus face à une dérive. Ce combat doit être porté au plus haut point. La CGT aux côtés des autres syndicats CFDT, FO et SNB se mobilisera.

La banque, les banquiers, et leur représentation au cinéma!

Attention, ça risque fort de piquer !

 

Notre profession, ou plutôt notre secteur bancaire, ne bénéficie pas du meilleur capital sympathie dans l’imaginaire collectif….On a fort à craindre du traitement qui nous est réservé sur grand écran !

cinema banque Les plus cinéphiles, ou les plus « anciens » se souviendront bien sûr du mythique « Après midi de chien« , où Al Pacino encore jeune, braquait une agence, avec fièvre mais aussi amateurisme pathétique. Ou encore de l’envoutant « Inside man », dans lequel le braquage était destiné à mettre en lumière des secrets bien cachés au fond des coffres...

Au tout début de « Hors d’atteinte », on voit George Clooney arracher rageusement sa cravate avant de se ruer dans une banque pour y perpétrer, avec sang-froid, un hold-up qui tourne mal. La construction par flash-back du film de Soderbergh nous apprendra bien plus tard les raisons de son énervement, mais la mise en scène nous propose ainsi une version mystérieuse et glamour du film de genre.

 

Majoritairement, quand on évoque la banque au cinéma, ce sont les braquages qui se retrouvent au centre de la narration, servant à mettre en avant le caractère des personnages principaux , soit empathiques, soit psychopathes, soit mus par un désir caché mais honorable (Les frères de « Comanchera » cherchant à venger la ruine de l’exploitation familiale, par exemple.)

 Ils servent également à planter un décor, car les lieux sont très cinégéniques : guichets, agents derrière des grilles, comptoirs (sportivement enjambés par Ryan Gosling dans «The place Beyond the Pines», salle des coffres ( cœur de l’intrigue dans « Inside Man »)

 Ils permettent aussi de resserrer un suspense : timing entre déclenchement de l’alarme et arrivée des forces de police ( le classique « Die hard 3, une journée en enfer »)

 Mais, on retrouve également le thème de la banque avec des braquages plus feutrés, voire plus sophistiqués, ceux des traders et de leur montage aussi cynique que lucratif . L’incontournable référence so 80’s « Wall street ». Plus récemment : le rythmé « the Big short », le déjanté « Loup de wall street » ou encore « Margin Call » implacable détricotage de l’effondrement de la Lehmann Brothers une fameuse nuit de 2008 . Le pitch :  Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche! La dernière nuit d’une équipe de traders, avant le crash. Pour sauver leur peau, un seul moyen : ruiner les autres… Rien que ça !

Voilà pour un panorama rapide côté Hollywood, mais chez nous, me direz-vous, que nous propose notre cinéma ?

 

Qui dit braquage français, dit forcément Albert Spaggiari, et « le casse du siècle » à Nice. Après un premier film datant de 1972 (« Les égouts du paradis »), Jean Paul Rouve reprend le rôle-titre dans « Sans arme ni violence » en 2008.

Mais trêve de vols, tout comme les Américains, nous aussi nous pouvons proposer des récits d’arnaque !

Dans « Erreur de la banque en votre faveur », Gérard Lanvin utilise opportunément des informations boursières relevant du délit d’initié,  pour compenser un prêt non accordé par ses anciens employeurs, la banque d’affaires Berthin-Schwartz.

 

Je vous laisse tout loisir pour réfléchir à votre film de banque préféré, de quelque nationalité qu’il soit, et vous propose de terminer la liste avec l’élégance de Romy Schneider dans « la Banquière ».

Elle y incarne Emma Eckhert une femme d’origine modeste qui réussit, dans l’entre-deux-guerres, une fulgurante ascension et se trouve à la tête d’une banque et d’un journal financier spécialisé dans l’épargne populaire.

 

Voilà un (très) rapide panorama des films les plus populaires sur le milieu de la banque.

Et vous, alors, quelle est votre banquier, votre arnaqueur ou votre tradeur préféré au cinéma ?

 

 

 

Retour en haut